Ash Inarius Administrateur
Nombre de messages : 163 Age : 33 Localisation (réelle) : Paris Humeur : Indescriptible Date d'inscription : 18/06/2008
| Sujet: Burn Paris Burn Lun 30 Aoû - 18:09 | |
| - BURN PARIS BURN - "Passionné du jeu vidéo Freelord, Romarik rencontre Venus, une jeune femme étrange qui va changer sa vie... Magie vaudou, moto volante, album ensorcelé, une perruque et un château dans le ciel... À eux deux, ils vont créer l’ultime groupe de musique, les Satan System, qui les mènera au sommet du pouvoir et de la décadence du Paris hanté et surréaliste de la YOUTH INDUSTRY.
Librement inspiré du Joueur de flûte de Hamelin et Faust, Burn Paris Burn nous plonge avant tout dans un univers visuel et musical absolument insensé, né du cerveau en ébullition de deux jeunes réalisateurs bien moins saints d’esprits qu’il n’y paraît…
"Le visionnage de Burn Paris burn relève de séquences à la beauté rappelant parfois le meilleur de l'infographie cinématographique (CAPTAIN SKY ET LE MONDE DE DEMAIN), offrant ainsi au passage la sensation aussi revigorante qu'inédite de tenir là une sorte de film de Rob Zombie (THE DEVILS REJECTS) qu'aurait consciencieusement designé Oshii Mamoru (AVALON) !" Sueurfroides.fr
" Voyage psychédélique empreint de la culture alternative et du milieu underground, Burn Paris Burn pourrait se définir comme une rencontre entre Jean-Pierre Jeunet et Rob Zombie sur l’acide. Dans un style très BD, les réalisateurs touchent à des références au punk rock, au metal, à l’horreur, au fantaisiste et au fantastique. Le travail visuel de cette production est étourdissant. Laurent Sebelin nous aura confié que toute l’esthétique visuelle du film était attribuable en grande majorité à son complice, Pierre Massine. BURN PARIS BURN est une exploration et un amalgame de tellement de techniques cinématographiques qu’il faudra le revoir pour assimiler le tout. " sinistreblogzine.com
Résultat de 3 ans de travail, dont 40 jours de tournage (!), Burn Paris Burn a été produit de manière totalement indépendante. Filmés sur fond bleu ou vert, les personnages ont été incrustés à des décors numériques animés en 2D. ne technique qui a permis de créer à la perfection l’univers onirique de la Youth Industry, situé entre peinture, bande dessinée et cinéma.
Le ton de ce conte étrange se place précisément entre le monde du rêve et celui du cauchemar. Une fable graphique sur le thème du succès, tout droit sortie de l’underground." | |
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