The Jack Corbeau de l'espace
Nombre de messages : 330 Age : 34 Localisation (réelle) : Yvelines (France) Humeur : changeante Date d'inscription : 05/08/2009
| Sujet: Mon scénario Mar 8 Sep - 0:23 | |
| Ca fait parti des écrit lol, j'éssaie d'écrire un scénario de film noir (les films noir sont les films des années 60 en noir et blanc avec des détectives, des veuves manipulatrices etc...), j'ai fait que quelques scène pour l'instant, certaine incomplète. J'éditerai à mesure je pense^^ Séquence 1. Int/Nuit. Pluie. Dans un bureau. La scène se passe dans une pièce sombre et quasiment vide. Un bureau de bois sur lequel une lampe, seule lumière de la pièce, est allumée. Dessus il y a un téléphone à cadran rotatif , des dossiers aux feuilles mal rangées et une machine à écrire. Une bibliothèque sur laquelle de vieux bouquins sont mal rangés et des dossiers sont posés ça et là sur eux. Un homme (Barbe de 3 jours, chemise blanche fripée, gilet délabré marron, cravate unie et pantalon assorti au gilet) se tiens devant la fenêtre aux stores baissés, il regarde à travers la rue en tenant un verre de Martini avec deux glaçons à la main. Il pleut dehors. Il bois une gorgée. VOIX OFF / DETECTIVE MAYERS : Ca fait 15 ans que j’fait ce métier. A force on fini par savoir quand un sale truc Va vous tomber dessus sans prévenir. C’était une de ces nuits-là. La pluie battait et faisait un boucan incroyable. On aurait dis que la nuit elle-même appelait au crime. Silence pendant un temps.Le téléphone sonne. L’homme sort de sa rêverie. Il regarde le combiné. Le laisse sonner une deuxième fois. Puis s’avance, pose son verre et s’assoie dans son fauteuil. Il attend la fin de la quatrième sonnerie pour décrocher. DETECTIVE MAYERS: Indifférent 505 Weston Street ? IINTERLOCUTEUR : Voix masculine un peu déformée, grave et rauque Mr Mayers. J’ai un travail pour vous. Silence un instant. Sort une montre à gousset de la poche de son gilet et regarde l’heure. Gros plan sur la montre. Il est 22h08. VOIX OFF / DETECTIVE MAYERS : Quand le téléphone sonne après dix heures du soir, c’est jamais pour une bonne nouvelle. DETECTIVE MAYERS: Indifférent Pas intéressé. Il raccroche. S’affaisse dans son fauteuil et se passe les mains sur le visage. Le téléphone re-sonne. Il décroche. DETECTIVE MAYERS: Je vous ai dit que ça ne m’intéressais pas. INTERLOCUTEUR : Mr Mayers, j’insiste pour que vous preniez cette offre au sérieux. DETECTIVE MAYERS: Je ne prend pas de clients en ce moment. INTERLOCUTEUR : Pas même pour deux milles dollars ? Silence. Le détective, étonné, pose le combiné sur le bureau. Il se mord les lèvres, re-regarde sa montre. VOIX OFF / DETECTIVE MAYERS: Plusieurs personnes disent que l’argent n’a pas d’odeur. Ce que j’en sais C’est que quand on vous propose autant de fric pour une affaire, vous oubliez Que ça pue les emmerdes. Il reprend le combiné. DETECTIVE MAYERS: Je vous écoute. INTERLOCUTEUR : Rendez-vous chez MacLaren’s. Dans une demi-heure. L’interlocuteur raccroche. On entend le « clic ». | |
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