voila.

Hum, personnellement, étant un misanthrope confirmé, je reste persuadé de tous les mauvais côtés de l'Homme; cependant, au niveau personnel, c'est-à-dire au cas par cas, je n'ai rien contre qui que ce soit...

Je partage ta pensée.

Bien pensé de juger au cas par cas car nous sommes tous différents (heureusement). Mais ne serais t'il pas juste de dire que l'homme a autant de bons cotés que de mauvais et que l'éducation aide a se diriger et a développer les bons cotés.

Ou que la bêtise fondamentale d'autrui peut devenir supportable sur un coup de pot; dire de quelque chose qu'il est bon ou mauvais reste un jugement de valeur conditionné. Tout dépend des circonstances, je suppose.
inb4 e=mc², tout ça.

Quand tu parles de circonstances pour ce qui est bien et mal, c'est vrai qu'un même acte peut être interprété de manière différente selon les circonstances. En effet dans un cas extrème comme la mort, tuer est mal, mais qui te repprocherais de tuer un sadique qui veut tuer ta famille ? Et pourtant l'acte de mort est mal, mais rester sans rien faire est également mal. Tout est une question de circonstances, comme je le dis toujours, ne pas faire aux autres ce qu'on aimerais pas qu'on nous fasse, plus de gens le pratiquerais, on aurais moins de questions à se poser sur ce qui est bien ou mal.

Bon je vais me coucher avant de raconter encore n'importe quoi.
Bonne nuit à tous.

La mort n'a rien de bien ou mal en elle-même. Elle arrive, c'est tout. Neutralité. Comme tout ce qui est naturel, d'ailleurs.
Au fond je crois que c'est comme pour les cadeaux, c'est l'intention qui compte.

Ouais la mort arrive on a de toute façon pas le choix, elle est là et puis voila et ce n'est pas sur que ce soit si mal que ça de mourire parce qu'on ne sait pas ce qu'on fait après la mort pour certaine personne la mort est plus une libération qu'une peine et c'est surtout ceux qui ne sont pas mort qui pleure les morts...

Si on prend les deux possibilités de la mort:

- Soit il y a quelque chose après la mort, auquel cas ben on "s'en fou" si on meure.

- Soit y a rien après, et donc pas besoin de mourir avec des regrets puisqu'on pourra plus les ressentir.

C'est pour ça que je rigole de ceux qui disent vouloir "passer chaque jour comme si c'était le dernier", parce qu' à la fin du chemin, eh ben ça changera que dalle.

Je crois avoir plus ou moins avoir la réponse de ce qu'il y après la mort (c'est mon père qui a été à une conférence de "Vie après la Mort" et la miss qui a fait la conférence avait des preuves, après vous y croyiez ou vous y croyiez pas à vous de voire)

Alors...

-si on meure de mort normale (disions de vieillesse) on se retrouve dans une sorte de tunnel (si tout se passe bien) et les gens qu'ont connaissaient et qui sont déja mort avant nous vont nous attendre dans le tunnel pour nous montrer le chemin et nous aider. ensuite ,je crois, qu'on peut choisir de ce réincarner ou de rester dans cet endroit hors du temps et de "guider" les prochains à mourire et les vivants.

- Si on se suicide on se retrouve dans une sorte de entre-deux à souffrire pour le restant de nos jours (qui se finiront jamais) parce qu'on est partit avec nos problèmes et maintenant qu'on est mort on ne peut plus les régler et on a renier le cadeau qu'on nous a fait de nous laisser nous incarner (j'imagine que vous vous en foutez en peu du suicide mais bon...)

C'est à peu-près ce que la miss a raconté!

Je vois pas trop quelles "preuves" elles pouvaient avoir... Mais ce que tu décrit ressemble en fait... Au purgatoire, non?